Histoires de de SIMS 4 NON CENSUREE / La création ne connait pas de limite. |
| | Possession | |
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Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Possession Dim 18 Nov - 2:31 | |
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Dernière édition par Logicielle le Ven 11 Jan - 20:39, édité 7 fois | |
| | | Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Re: Possession Dim 18 Nov - 4:00 | |
| EPISODE 1
L’araignée tisse sa toile.
Perversion, manipulation, argent, pouvoir, complots, stratagèmes sont les maîtres mots qui définissent ma vie. Le milieu d’où je viens nécessite souvent des sacrifices d’envergures, c’est pourquoi en pactisant avec le diable je lui ai offert mon âme.Dans ce monde on me surnomme « La louve » et il en est d’ailleurs devenu mon symbole, pourquoi ? Parce que peu importe les obstacles sur mon passage je les broie d’un coup de mâchoire, parce que je flaire le danger, parce que ma détermination est sans faille et mon vice à son apogée. Il y a longtemps, je pensais que la générosité, la compassion et la gentillesse étaient les maîtres mots qui définiraient ma vie…mais devant l’ampleur de ma création je devais me munir de griffes et de crocs acérés pour la défendre coûte que coûteJe suis PDG de SVENKA INDUSTRY. Je m’appelle Siegrid SVENKA, PDG de SVENKA INDUSTRY et âgée de 34 ans. Femme active, je voue uniquement ma vie à ma société. Mes ambitions dépassent de loin celle de la petite maison avec jardin et à son bord une famille heureuse avec un labrador qui s’appelle Tommy. Manger, boire…dormir sont déjà pour moi une perte de temps et je rechigne parfois à les satisfaire. Le temps…le temps est mon pire ennemi. Pour détenir le monde dans le creux de ma main voilà de quoi je manque perpétuellement, de temps. Ma position consiste à ne pas en perdre et à le rendre fructueux, le mot « temps-plein » prends alors tout son sens.Mais détrompez-vous, je suis loin d’être un bourreau et en tant que PDG j’ai bien compris qu’il fallait traiter avec amour ses louveteaux et grâce à cela ils me le rendent bien. Je suis exigeante, c’est la perfection ou rien. En revanche, Je ne les surmène pas et les remercie gracieusement à chaque instant de faire parti de cette aventure.Je vais arrêter un cours instant de parler de moi pour vous présenter mon assistante et secrétaire générale : Connie DEX. Il n’existe pas de meilleure assistante qu’elle et je lui adresse quelques lauriers de ma réussite car sans elle je n’aurais pu faire tellement de chose. Elle est exceptionnelle et Connie le sais, mais elle n’a jamais profité de ce statut et au fil du temps, elle est d’ailleurs devenue une amie.Je ne suis pas le genre de PDG qui reste enfermé dans son bureau en regardant le monde de haut. Je travail avec mes employés et n’envois personne d’autre que moi, si ce n’est Connie à l’étranger pour transmettre mes directives. Je pense que c’est l’un des secrets de ma réussite, l’union fait la force…le principe de base d’une meute.Ne faites pas attention à ce type allongé sur le sofa…une brillante idée de Connie qui avait besoin de renfort. Naturellement, je lui ai accordé. Elle était persuadée que cela me ferait « le plus grand bien » …mais mon plus grand bien comme je vous l’ai dit, c’est le gain de temps. Ah…là vous allez assister à la scène la plus chaotique de ma vie. Le seul, le seul homme capable de me couper de ce monde…c’était lui, Sacha FALZONE, 36 ans. Beau brun ténébreux.« ECOUTE MOI !- Lâche-moi merde !- Sieg j’ai rien fait je te le jure !- Je ne veux plus rien savoir de toi t’entends ?!- Tu me laisse même pas t’expliquer, mais putain pourquoi t’es aussi borné, je te dis que…- Sacha, la ferme. Je ne veux plus rien savoir de toi. Retourne auprès de cette petite salope et oublie-moi ! J’ai trop donné pour toi et finalement j’ai perdu mon temps !- T’as perdu ton temps ? - Arrête de jouer la victime. - J’ai compris. Tu as besoin de temps et tu trouve des prétextes. J’te retiens pas alors retourne t’enfermer entre tes quatre murs de milliardaire tu verras comme tu seras heureuse. »Sacha. Sacha. Sacha. J’avais perdu le seul homme capable de m’arracher aux griffes impitoyables de ce monde. Il était mon Evasion, ma douceur, ma sérénité.Tel un prince, il me libérait de ma tour et m’emmenait vivre dans la réalité…dans le monde des humains, parce qu’il était capable d’arrêter le temps, parce qu’il était ma bouffée d’oxygène. Parce que je l’aimais du plus profond de mon cœur. Je suivais son conseil et alla m’enfermer entre mes quatre murs de milliardaire. Mon dieu…que la solitude est douloureuse.Je l’aimais. Je l’aimais. Je l’aimais. Je restais là en boule incapable de bouger…peut-être que si je restais comme ça suffisamment longtemps je finirais par disparaitre.« Siegrid ! Les dirigeantes pakistanaises sont arrivées, je les fais monter ? - Oui. - Siegrid ?!- Euh. Oui, oui Connie fait les monter ! »Et voilà, je devais à présent endosser à nouveau mon déguisement de PDG et sceller ma dévastation. « C’est intolérable ! - Madame SVENKA comprenez que nos moyens ne suffisent plus…nous sommes infiniment désolé…- Je ne comprends pas, j’ai investi assez d’argent pour nourrir toute une ville et je refuse d’en perdre une miette est-ce que c’est clair ? - Il nous faudrait plus d’argent pour maintenir nos employés à flot Madame SVENKA…- Je vais mener mon enquête, s’il s’avère que les dépenses sont conséquentes je vous fais un virement sur le champ, MAIS si j’apprends que mon argent est dans la nature et sert d’autre cause que celle de SVENKA INDUSTRY…JE PUIS VOUS ASSURER QUE LA MORT SERA ENCORE PLUS DOUCE COMPARE A CE QUI VOUS ARRIVERA C’EST CLAIR ?!- Hum…peut-être qu’en nous serrant un peu…- Oui peut-être qu’en nous serrant un peu nous aurons de quoi gérer les employés au Pakistan Madame SVENKA…je - Nous vous tiendrons informé d’ici une semaine cela vous convient-il ? - Je vous laisse trois jours, repartez maintenant parce que le compte à rebours est en marche. On se revoit bientôt, Connie vous contactera. »« Mesdames. - Monsieur Haro. - Vous êtes en retard Haro.- Oui, tout à fait…j’ai déjeuné avec le dirigeant pakistanais, voilà pourquoi il n’a pu être présent ce jour à votre réunion.- Pardon ?!- Je vous ferai mon rapport dans la journée, j’ai anticipé et j’ai mené votre enquête…vous ne serez pas déçu. »Neil HARO. 40 ans et conseiller de la PDG de SVENKA INDUSTRY. Vous vous souvenez ? Le type recruté par Connie allongé sur le sofa…c’est lui. Je l’avoue, j’envoyais très souvent Connie à l’étranger pour transmettre mes directives…alors elle n’était plus là pour pouvoir m’appuyer et me conseiller. Elle eu la brillante idée de recruter un conseiller spécialisé. En d’autres termes, ce type était comme mon ombre. Haro était là depuis seulement deux mois. Certes il prenait beaucoup de liberté et son côté prétentieux était plus qu’agaçant…mais c’était un manipulateur né et ses talents m’ont servi de nombreuse fois. J’avais confiance en lui. La première fois que je l’ai vu et ce, malgré mon amour pour Sacha, j’ai cru que ma poitrine allait s’enflammé. Haro a du pouvoir et il le sait, voilà pourquoi j’ai toujours gardé une distance avec lui…pour ne pas tomber dans son piège. A sa façon, c’était un homme dangereux mais pour les affaires un « AS » caché dans la manche. Il mesurait environ 1m80, il avait de longue jambe, un corps visiblement très musclé au vu de sa carrure imposante et ses mains étaient grande et large. Je ne sais pas pourquoi j’ai toujours fait une fixette sur les mains des hommes…je dois vraiment être un cas désespéré pour qu’une main puisse m’exciter à ce point. Ses cheveux, d’un noir et d’une brillance intense mettaient en évidence ses yeux bleu, un bleu incroyablement profond à tel point que quand il vous regardait vous aviez subitement l’impression d’être nu…dépouillé de tous vos secrets.« Eh ben, tu n’y es pas allé de mains mortes avec les pakistanaises Svenka.- Fou moi la paix Haro, je peux avoir un peu d’intimité.- Tu vois, le truc c’est que je suis payé pour être ton ombre, t’as pas oublié j’espère ? - Tu vois pas que j’ai besoin d’être seule là.- Moi je vois que tu as surtout besoin d’un verre. - J’ai pas besoin de picoler Haro, j’ai besoin d’être seule, SEULE.- Allez debout ma grande, je te dis que tu as besoin d’un verre. »- Haro…- Tu aime répéter mon nom on dirait bien. - Ferme là. »Sa main. Sa main est chaude. « J’ai parlé d’homme à homme avec le dirigeant Pakistanais, figure-toi que la marchandise a été volée. Les convoyeurs se sont retrouvés avec un pain de C4 sur leur pare-brise et naturellement on abandonné le navire, environ 3.5 millions de dollars envolés et plutôt que de te dire la vérité, ces dames sont venues quémander.- Je les intimide à ce point…- C’est le but tu sais, on ne te surnomme pas « La louve » pour rien. Je me charge de retrouver ces petits fumiers, j’ai un contact au Pakistan qui vit dans les montagnes et crois-moi si un camion avec 3.5 millions de dollars de marchandises y est passé, il est impossible qu’il ne l’ai pas vu.- Ah. Super alors.- Okay, là tu va vraiment mal. Je te dis que tu as perdu 3.5 millions de dollars et c’est ta seule réaction, qu’est ce qui t’arrive Svenka ?- Ma, mon…petit ami.- Je vois. Ton loup t’as littéralement brisé le cœur. Si tu veux pas en…- D’abord son ex !- La serveuse du café de la ville !- Ce type n’a aucun goût.- La surveillante de la piscine municipale !- Moi aussi j’ai besoin d’un verre maintenant…- Attends je te raconte ma vie sentimentale, quelque chose d’hyper intime pour moi et tu t’en fiches ?!- Qu’est ce que tu fou avec lui. - Comment ?- T’as bien entendu. Ce mec sans aucune classe, aucun respect t’as fait cocu au moins trois fois. Qu’est ce que tu fou encore avec lui.- Parce que tu y connais quelque chose toi à l’amour ? Je l’aime, pour moi cette raison était suffisante.- La louve, j’ai un secret pour toi. L’amour c’est pour les enfants…mais si tu veux, je peux t’aider à comprendre ça.- Comprendre quoi ?!- Je sais pas trop…- Je vais jouer carte sur table avec toi, je veux pas de ce genre de commentaire entre nous, je te paye pour…- Svenka, je rigolais.- Pas d’ça avec moi, je t’arrête immédiatement Haro tu ne m’auras pas avec ta manipulation de bas étage, ça ne fonctionne sur moi et…- Bon sang j’ai mal au cœur.- Ca va aller ?- Faut que j’aille aux toilettes, tu peux rentrer chez toi c’est bon.- T’es sûr que ça va aller Svenka, le verre de trop peut-être ?- Oui ça va aller, rentre chez toi !- Elle est irrécupérable, rentre chez toi aussi Svenka tu en as plus besoin que moi.Ça va pas, pas du tout. Qu’est ce qui me prends de raconter mes histoires de cœur à Haro, depuis quand je suis devenue aussi faible.Finalement, j’ai continué à boire…perché sur mon merveilleux pouf design à 300 000 dollars.Je repensais à ce que m’avais dit Haro, « L’amour c’est pour les enfants » …j’avais vraiment l’impression de me comporter comme une gamine, une gamine de 34 ans. J’étais devenu vulnérable et je devais me reprendre parce que ça pouvait nuire à mon business. Rester concentré sur le travail voilà ce qui me permettrait d’oublier Sacha jusqu’à ce que mes blessures cicatrisent. Du temps, il me fallait encore et toujours…du temps.Comme à mon habitude, je partais la dernière…sauf que cette fois je n’avais rien fichu de ma soirée hormis me saouler.J’étais milliardaire et je vivais dans une petite maison, petite mais luxueuse. Mon logement importait peu car de toute façon je passais ma vie au siège ou à l’étranger. « Je t’avais dit de rentrer.- Tu m’as fait peur ! Qu’est ce que tu fais là…- Je t’ai proposé de boire un verre et toi tu t’enfile la bouteille, en prime tu prends le volant jusqu’ici.- Haro je…je suis vraiment pas bien à cause de…- A cause de qui ?! A cause lui ?! - Har…Neil arrête…- C’est comme ça qu’il t’a attrapé ? Ce menteur, ce sale con qui t’as trahi hein ?!- Neil, j’suis pas bien…j’ai pas besoin d’ça.- Tu empeste l’alcool…- Je vais me ressaisir, j’ai besoin de temps.- Je suis ton ombre, oublie pas. - Neil… »Si sentiments il y avait, mon esprit à ce moment précis était totalement vide. Non pas à cause de l’alcool, mais à cause lui…Neil HARO. Je restais là apathique, à le regarder fixement, mes oreilles bourdonnaient et je voyais ses lèvres gourmande bouger sans même pouvoir entendre. Son torse ferme et imposant venait comprimer mes seins sur ma cage thoracique et même si j’en avais le souffle coupé, je priais pour qu’il reste dans cette position une éternité. Ses yeux me dévoraient, de colère ou de plaisir…ça je l’ignorais. Enchaînée au mur par ses mains forte et chaude, je pouvais sentir mon pouls radial transpercer ses paumes. Faites qu’il reste…s’il vous plaît faites qu’il reste. Comment est-ce arrivé, depuis quand je suis devenu aussi facilement manipulable. Depuis quand Neil HARO me perturbe tant. Quand le cœur est blessé ses barrières s’effondre et plus rien ne peut le protéger, il devient alors vulnérable aux attaques. Rajoutez de l’alcool à haute dose dans le sang et vous obtenez : La confusion.Mais, en ce qui concerne Neil…j’ignore ce qui l’a poussé à agir, pourquoi m’a-t-il suivi jusque chez moi. Peut-être qu’en tant que conseiller, il est de son devoir de s’assurer que je ne ternisse pas mon image. Connie en aurait sûrement fait de même.Ce silence est tellement agréable. J’ai l’impression que m’a tête va exploser. Faites qu’il reste…S’il vous plait faites qu’il reste.Sérieusement, pourquoi je pense à lui…de cette manière. J’ai tellement honte que je voudrais ne plus jamais sortir de cette salle de bain, Sacha c’est d’ta faute, je te déteste…« Rentre, prends une douche et mets-toi au lit d’accord. Ah et…bois beaucoup d’eau.- Hmm.- Et à l’avenir, au lieu de prendre la route complètement alcoolisé appel moi ça vaut mieux. - Oui…tu as raison. - Tu sais Siegrid, je suis désolé d’avoir agis de cette manière. Mais en plus de ton imprudence, je cautionne pas non plus le traitement que tu t’inflige pour ce moins que rien. En tout cas, si tu as besoin de quoi que ce soit tu peux m’appeler. - Merci, Neil. On ne change pas les vieilles habitudes, je décidai de mettre cette affreuse journée de côtés pour bosser sur un dossier important, une exportation très importante qui doit avoir lieu dans un une semaine au brésil. Quand je n’avais plus d’énergie, que je poussais mon corps dans ses derniers retranchement…je m’endormais sur le canapé au coin du feu.Je ne dormais jamais dans ma chambre. Je pense que quelque part j’avais peur de m’endormir profondément…au point de ne pas me réveiller à temps, de perdre…du temps.Le seul moment de paix, le seul moment où j’autorisais mon corps et ma vigilance à se relâcher un peu. Mais…pas cette nuit. Sacha hantait encore mon cœur, quant à Neil mon corps tout entier. A peine 3 heures de sommeil, c’est ce qu’il me fallait pour redémarrer, je me levais en général vers 5 heures du matin pour être sur d’être en avance au siège.C’est étrange, mais j’avais peur de croiser Neil aujourd’hui, un peu comme une petite fille qui a fait des bêtises. Mais étant donné qu’il est « comme mon ombre », je pense que je n’aurais pas le choix. De toute façon, hormis ce qui s’est passé devant la maison hier soir, il ne peut pas lire dans mes pensées. Aujourd’hui je vais me reprendre et l’homme qui fera vaciller Siegrid SVENKA n’est pas encore arrivé. « Sieg j’suis désolé mais il refuse de partir tant qu’il ne t’auras pas vu.- De qui tu parles Connie ?- Tu appelles la sécurité et tu m’le fou dehors.- Bah comme je savais pas trop j’ai pas osé tu vois…- DEHORS ! »Je rêve, venir sur mon lieu de travail simplement pour m’expliquer comment il m’a trompé…le sale petit...« Déjà à la boisson, là tu m’impressionne. Au fait, j’ai vu ton « amoureux » en salle d’attente.- Va t’faire foutre. - Holà...doucement ma jolie j’y suis pour rien si t’es cocu. - Je sais. C’était pour hier soir. - Quoi t’aime pas ça être plaquée contre le mur ? - Ca dépends par qui. - Bonne réponse. Je vois que tu as des goûts notables. - Arrête ton petit jeu, je suis ta supérieure tu me dois le respect. Pas de familiarité avec moi. - Bien, Madame SVENKA. Eh bien sachez que votre air de femme impartiale ne me laisse pas insensible. - Si tu l’dis, je vais retourner bosser sur le dossier d’exportation au Brésil, tu peux disposer. - Siegrid attends. - Neil j’suis pas d’humeur vraiment et j’ai beaucoup de travail en retard. - Je t’ai demandé d’attendre.- NEIL !- Calme toi Siegrig… S’il te plait…- Neil qu’est-ce que tu fais ?!- Je veux que tu m’écoute.Ses mains sur ma taille… elles réchauffent et font frissonner mon corps tout entier jusqu’entre mes cuisses. J’ignorais comment Neil HARO avait le don d’être ferme et doux à la fois. C’était paradoxal, je refusais ce contact physique, pourtant je n’avais qu’une envie c’était de reculer et presser mes fesses contre son corps. Je divaguais à l’instant même où il posait les mains sur moi c’était une évidence.Faites qu’il reste, s’il vous plait faites qu’il reste. - Je veux t’emmener dîner demain soir.- Neil…je, pourquoi pas…si tu veux. »- J’y vais j’ai un rendez-vous sur Winderburd, donc si tu as besoin hésite pas à m’appeler je suis joignable…je vais allez voir si ton petit chéri n’a pas pris la poussière.- NEIL ! »Raah il m’épuise. Ce type est une peste, mais qu’est ce qui m’a pris de lui dire oui. Chaque fois qu’il pose ses mains incroyablement sexy sur moi je perds tous mes moyens, depuis quand je suis devenu ce genre de femme.Je tentais de me concentrer sur mon dossier mais mes pensées étaient si confuses. Sacha m’avait détruite intérieurement et il était certain que j’avais besoin d’attention, Neil le savait…et je savait qu’il savait. Est-ce que c’est mal de vouloir que quelqu’un s’intéresse à nous ? | |
| | | Yūren
Messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 31 Localisation : Là où tu n'es pas
| Sujet: Re: Possession Dim 18 Nov - 10:22 | |
| On ressent tellement les émotions dans cette histoire. J'adore. La vie de working girl.... C'est de la survis pour moi >.< J'espère que son coeur ne se fera pas déchiqueter par ces 2 hommes. Tout peut partir si vite dans cette affaire. Tentation, trahison, revirement de situation... L'amour a n'a pas sa place dans cette vie... Elle est forte en affaire, mais peut-être pas aussi forte en amour... Quelle vie va-t-elle choisir de faire....? Quoi qu'il en soit son entreprise est énorme. J'adore sa toiture, sa décoration. C'est une femme de pouvoir ! | |
| | | Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Re: Possession Dim 18 Nov - 20:31 | |
| Ahw merci... Challenge réussi pour moi alors c'est ce que je recherchais avant tout Oui comme tu dis de la survie... Nous on serait en PLS ou en mode chenipan pour rentrer à la maison Tant de questions xD Ma Che j'ai pris du temps pour faire son entreprise je voulais qu'elle soit à l'image du personnage, de caractère et classe Puouhouhou que j'ai hâte de pimenter tout ça ! | |
| | | Kaito
Messages : 3 Date d'inscription : 06/11/2018 Age : 30 Localisation : A l'autre bout du monde
| Sujet: Re: Possession Sam 24 Nov - 17:39 | |
| Aaaah le mec a une copine milliardaire et ose lui faire cocu...x) Je sens que la suite de sa relation va devenir compliquée | |
| | | Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Possession - Episode 2 - Échec et mat Dim 25 Nov - 23:34 | |
| Episode 2 Échec et mat « Siegrid… - Quoi ? - L’autre est encore en bas. - Hmm.
- Tu veux que j’le dégage ? » Olaf, Directeur publicité et communication. Un homme talentueux et un ami précieux. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
« Nan c’est bon je vais y aller. Merci Olaf. - Appelle-moi si tu as besoin Sieg et…ne te fais pas avoir. - T’inquiète. » Je n’allais pas retomber dans le panneau. Je ne pouvais pas. Je devais lui faire comprendre que sa trahison…aussi douloureuse soit-elle, ne m’atteignais pas. En finir…en finir une bonne fois pour toute.
« Tu m’ignore Sieg… - Tu veux quoi ? - Que tu me laisse t’expliquer. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Tu m’écoute ou pas là ? - Hmm. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Sieg, c’est pas c’que tu crois. J’ai jamais couché avec aucune de ces femmes. - T’es venus ici pour mentir encore ? Sérieusement ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Sieg… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Arrête de t’foutre de ma gueule et assume au moins ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- S’il te plait, tu dois me faire confiance…je te promet que je ne t’ai pas trompé. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Des promesses encore des promesses…tu en as fait tellement. - Et j’ai jamais tenue parole ?!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Celle qui comptait plus que tout…c’était ta fidélité Sacha. - J’ai tenue cette promesse. Je ne t’ai pas trompé…je te le jure. - Non…tu es un menteur. Tu as tenté de me détruire une fois, je ne te donnerais pas une seconde occasion, je n’peux pas.
- C’est bien dommage pour toi Sieg. J’étais le seul homme capable de te faire sortir de ta coquille de business woman, le seul qui ne t’ai pas séduite avec de l’or et des yachts, le seul qui t’ai toujours parlé franchement malgré ton caractère tranchant. Mon oxygène…
- Tu étais. - Tu crois pouvoir ? Tu sais aussi bien que moi que sans une brèche pour t’échapper…tu pèteras les plombs !
- Si je crois pouvoir ?! J’ai battis un empire et tu crois qu’il y a quelque chose que je ne peux pas faire ? D’ailleurs j’ai un rendez-vous ce soir, je n’ai et je n’aurais plus de temps à te consacrer. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - C’est qui ? - Ça ne te regarde pas, mais au cas où tu ne l’aurais pas compris je peux retrouver un homme quand je veux. - C’est ton enfoiré d’petit chien chien c’est ça ?
- Encore une fois tu n’es pas concerné par tout ça. - Tu bluff. Tes petits stratagèmes ne fonctionne pas sur moi Sieg.
- Tu sais Sacha, c’est bien d’avoir le manche…mais le manche et les couilles c’est mieux. »
Au revoir, Sacha… Malgré ta mutinerie, ta trahison, ton coup d’poignard…tu auras toujours une place spéciale dans mon cœur…parce que tu étais, tu étais, tu étais…le seul. Comme à ma mauvaise habitude lorsque je me sens triste ou bien frustré…je mange. J’avais l’impression d’avoir en quelque sorte touché du bout des doigts la page que je devais tourner et étrangement…j’avais besoin de voir Neil. Ce serait égoïste de me servir de lui comme d’un pansement, mais je savais bien que Neil n’étais pas du genre à s’attacher…alors. Je suis rentré plus tôt à la maison aujourd’hui, j’avais besoin de ma journée pour redescendre…redescendre un peu, les avantages de PDG et…je ne sais pas pourquoi mais immédiatement j’ai appelé Neil. « Allo ? Neil ? - Que me vaut l’honneur de cet appel ! - Tu vas bien ?
- Et toi… ? - Hmm, je vais bien… - Tu voulais quelque chose Sieg ? - Euh…et bien en fait…je
- Je passe te prendre à 18h00. - Neil… - Oui sergent ? - Merci. - Hmm…t’inquiète. »
Depuis quand ? Depuis quand Neil Haro lis-t-il dans mes pensées. Le fait qu’il devine sans que je dise un mot faisait battre mon cœur si fort… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] J’aime toujours Sacha…pourtant, les sensations que me procure la présence et les mains de Neil me font l’effet d’un cataclysme. Je n’peux plus penser, je n’peux plus réfléchir…et mon corps entier ne répond plus.
Il ne panse pas seulement ma blessure, quand il me montre de l’attention…je finis par l’oublier comme si je n’avais jamais rien vécu de douloureux. Puis, quand le prénom de Sacha me saute à la gorge…je me sens coupable de me sentir bien avec lui.
D’un autre côté, avec Neil je ressens de la peur. Cet homme est né pour manipuler…comme il le dit si bien, c’est pour cela que je le paye. Il aurait tous les avantages à me séduire et ça…c’est dangereux pour moi.
« Heeey Neil, quelle bonne surprise !
- Yo Neil, ça boom ?
- Salut, c’est moi que tu viens chercher ? »
C’est pas possible…je dirais même que c’était minable. Je stressais comme une collégienne avant son premier bise pop.
« Bon sang SIEGRID PETRUZELLA SVENKA ! Reprends-toi !! Tu es une louve, une louve vorace, méfiante et désirable, alors SOURIS juste SOURIS ! ET VA T’LAVER ! »
Après toutes ces années à manipuler les autres, je me demande s’il ne serait pas devenu une sorte de machine…une machine inarrêtable et dangereuse capable de détruire ou d’assouvir en quelques mots ses victimes. C’est pourtant ce danger imminent qui fait frissonner mon corps tout entier.
Aujourd’hui j’ai ressentis le besoin de le voir…et j’ai voulu qu’il m’emmène ce soir et pas demain au restaurant, pourtant j’ai peur qu’il prenne ce geste pour une faiblesse, peur qu’il profite de moi…peur qu’il me manipule comme il le fait avec nos clients...peur d’être son pion. Il est trop fort, trop puissant…je n’arrive pas à lutter. Je suis indéniablement attiré par lui. Est-ce que je suis maso ?
Vous l’aurez compris, mes pensés n’empiètent en rien sur mon travail et d’ailleurs le dossier d’exportation au Brésil était quasiment bouclé…
Je vais pouvoir profiter de ma soirée sans trop m’inquiéter…enfin jusqu’à ce que les soucis de logistique résonnent à mes oreilles, mais pour l’heure je n’avais pas envie de penser à ça.
J’attendais là, assise dans le hall d’entrée. Mes jambes effectuaient cette petite danse de la nervosité en sautillant sur place à plusieurs reprises. Neil n’étais même pas encore là et je ne contrôlais déjà plus mon corps. Plongé dans mes réflexions, le son de la sonnette retentit comme un gong dans mon esprit pour me sortir de ma léthargie.
A travers la porte vitrée, je pouvais distinguer son beau visage, sa prestance qui remplissait l’univers et fût stupéfaite de le voir comme songeur pour la première fois, fixant le sol de la maison…son sourire moqueur éteint.
« Bonsoir…
- …Bonsoir Siegrid.
- Tout va bien Neil ?
- A merveille, tu as mis le paquet ce soir on dirait bien… - Le paquet ?! Tu veux que j’me change ? - Non. Surtout ne change rien.
- Tu me dévisage là… - Je sais.
- Tu tombes amoureux avoue…
- Tu crois ? »
Et voilà…semblable à une poupée de chiffon, je restais à nouveau immobile tandis que Neil me maintenait la main toujours avec fermeté et douceur.
La porte vitrée était froide, mais son corps chaud et imposant si proche du mien le faisait bouillonner.
Lutter ? Le devrais-je vraiment ?
Son regard dévorait mon esprit à tel point que je n’osais plus le regarder dans les yeux. Lutter ? Je n’en avais plus l’envie…
En vérité, je n’osais même pas sentir son souffle rapide et assuré, regarder ses lèvres légèrement humidifiée…peut-être avais-je honte parce que j’espérais les goûter. « Tu crois… - De...de quoi, je crois quoi Neil ?
- Que je tombe amoureux… - Probablement pas… - Si tu es sage, je te montrerais, tu as envie… ? » Bon sang, mon cœur…mon cœur va éclater en emportant ma cage thoracique avec. Je brûle de l’intérieur, je brûle d’envie… N’avait vous jamais éprouvé un désir intense, puissant monter crescendo…puis déflagrer en vous comme un volcan en irruption. N’avait vous jamais éprouvé un désir si intense, qu’il serait du gâchis de le laisser vous consumer de l’intérieur. Ce désir qui tonnait en moi, n’avait envie que d’une chose…bondir comme une louve enragée pour jouir des plaisirs de sa chair. La chair de Neil HARO.
« Allons-y. - Bonne idée. »
« Le Bellagio rien qu’ça ? - Que veux-tu je suis…hmm minimaliste.
- Ah parce que ça c’est « minimaliste » ?
- Avance ou je n’en fais qu’une bouchée de la louve. - Oh excuse moi, j’ignorais que Monsieur était tatillon » Le Bellagio était un de mes restaurants phare, non pas que ce soit mon préféré, mais je m’en servais régulièrement pour organiser mes dîners d’affaire. C’était le repaire des millionnaires et milliardaires. Il disposait de seulement 3 tables privatives. Le prix de la table ? Environ 10 000 dollars, mais trêve de bavardage vous allez comprendre pourquoi.
« Bonsoir, j’ai réservé une table au nom de Neil HARO. - Naturellement, si Madame et Monsieur veulent bien se donner la peine. »
« Comment tu as su que c’était ma table préférée…je n’ai pas encore eu l’occasion d’organiser de dîner d’affaire depuis que tu es là.
- Tu es magnifique ce soir Sieg...
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- Ah ah…tu me plaques contre ma porte d’entrée et maintenant tu me complimente comme un gentleman, c’est donc ça le secret de la manipulation ?
- Tu m’as appelé plus tôt parce que tu l’as vu, alors de nous deux qui manipule qui ?
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- Attends comment tu sais que j’ai revu Sacha ?
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- Tu me prends pour un "Chien chien" de bas étage ?
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- SVENKA, J’suis ton ombre pas ton pigeon. En fait, j’étais sur la terrasse…et j’ai tout entendu par hasard.
- Et puis en quoi je te manipule, j’avais juste envie de…
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- Envie de quoi SVENKA ?
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- J’avais envie d’y aller aujourd’hui c’est tout. » Pourquoi c’est toujours lui qui mène la danse.
Un silence pesant s’installa et nous nous regardions les yeux dans les yeux. Est-ce qu’il songeait ? Est-ce qu’il me défiait ? Neil HARO, pourquoi je n’arrivais pas à te cerner.
« Quoi ?
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- Tu mourrais d’impatience de me voir en fait. »
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Pourquoi tu lis dans mes pensées…tu sais bien que mon cœur frappe à coup d’poing mon diaphragme quand tu fais ça. Je n’te le dis pas Neil HARO…mais tu le sais déjà.
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Quand la louve se sent en danger, malgré la peur, sa meilleure défense sera l’attaque. C’est moi qui te piégerais.
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- Quel changement d’expression, je suis très impressionné quoi qu’un peu soudain cela manque de transition.
Je lui lança un regard insistant. Quand son expression changea pour la première fois…franchement et sans transition. Je décidai de ne pas me laisser perturber.
- T’as envie d’jouer toi…
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- Depuis le départ c’est TON jeu…je n’fais que suivre les règles. »
Il me regarda de nouveau sans un mot, je luttais, oui cette fois je luttais pour ne pas perdre face à lui. Neil aimait le silence…voilà pourquoi il arrivait à me comprendre sans que je dise un mot.
« Je prendrais tes silences pour des confirmations si tu n’y vois pas d’objection bien sûr.
- Puis-je avoir l’addition s’il vous plait.
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- On va allez quelque part toi et moi et tu vas apprendre que le silence est d’or avec moi. »
Cette fois, je restais silencieuse. Avais-je gagné la partie ou bien venais-je de tomber dans le piège que je cherchais tant à éviter ?
« Il pleut, j’espère que ça ne te dérange pas.
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- Contrairement à toi j’ai grandis dans une famille modeste, la pluie ne me dérange pas…sauf effectivement mes talons aiguilles peut-être. Pourquoi cette question ?
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- On va juste légèrement changer de décors. - Quand tu dis légèrement ça sonne faux Neil, crapahuter dans cette tenue ce serai du suicide.
- Hmm….
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- Neil ? - Hmmm…. - Neil… ? - Je réfléchis…
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- Je vais allez régler la note et je t’emmène, attends-moi sagement d’accord. »
Mes neurones s’entrechoquaient, où voulait-il m’emmener…si ça continuait comme ça j’allais perdre à son petit jeu. Mais finalement…voulais-je vraiment gagner ? Pourquoi je devenais soudainement si contradictoire.
J’avais peur, peur de connaître la sentence de la défaite.
« Tout va bien ? - Très bien. Tu vas me dire où tu m’emmène ?
- Le silence…le silence est d’or. »
Arrivé à destination, je restais sans voix. Pourquoi m’avait-il emmené ici…
La pluie tombait et les nuages s’empilaient comme des dominos. Pourtant…la vue était purement et simplement envoûtante. Mais pourquoi, pourquoi m’avait-il emmené ici.
Je repensais à ses mots, « Le silence est d’or ». Neil restait là sans un mot et même s’il semblait connaitre cet endroit, il admirait la vue avec moi comme pour la première fois.
Comme pour planter la graine et faire germer le rêve, la pluie ne tarda pas à s’arrêter et les nuages à se dissiper…pour laisser place aux étoiles spectatrices de mon émerveillement.
C’était la sentence de la défaite…la louve était tombée dans le piège du chasseur.
Prise au piège, la louve ne peut lutter. Elle ne peut qu’accepter.
Vulnérable et épuisée, elle ne peut se débattre. Non, je ne pouvais pas me débattre.
Je ne peux plus…lui résister, je ne veux plus.
Je m’aventurais enfin à sentir son souffle rapide et assuré sur mes lèvres, j’avais envie de me délecter des siennes, de caresser lentement sa langue avec la mienne…de lui donner un peu de moi. Neil…Neil…Neil…Je ne dirais plus rien, je respecterais ton silence mais je t’en supplie accorde moi cette sentence.
Que les étoiles me regarde, parce que j’ai le sentiment de briller comme elles à nouveau dans les yeux d’un homme.
Non, je ne recule pas…au contraire je viens intensifier ce baiser, ma langue parcours lentement et délicatement la sienne, nos lèvres se frôlent et parfois conglomèrent jusqu’à ne faire qu’une.
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- Le silence est d’or. »
Sa main forte et chaude relevait fermement ma cuisse contre sa jambe, j’en voulais plus…encore plus…
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Toujours plus…
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- Siegrid ?
- Je sais pas… - Tu as l’air frigorifiée…on peut rentrer si tu veux ? - Non…je veux rester ici, jusqu’au lever du soleil…s’il te plait.
- Ca va aller ? - Oui…j’ai…j’ai juste besoin de… - C’est bon. »
Sa bouche, la sensation de son corps contre le mien, sa langue et sa salive au goût sucré était comme une première dose d’héroïne pour moi. Cette falaise devait se trouver dans une autre dimension, déconnecté…elle me déconnecté du monde me laissant aux mains de mon chasseur. Est-ce que j’avais peur ? Non. J’en voulais encore encore…encore, encore, encore…encore.
Le soleil se levait et la pluie capricieuse du printemps rebattait de plus belle comme pour sonner la fin de ce rêve. J’avais tellement de questions sans réponses…mais sur l’instant cela n’avait pas d’importance. J’avais compris cette nuit, que Neil n’était pas un être ordinaire, il avait non seulement le pouvoir d’arrêter le temps mais de nous catapulter dans son monde, sa dimension. Son pouvoir dépassait celui de la louve, j’avais tout simplement perdu.
« On peut rentrer maintenant ».
J’arrivais à la maison au petit matin, la pluie c’était de nouveau arrêtée pour laisser place à un ciel bleu azur.
Je me jetais sur le canapé des papillons plein le ventre et des étoiles plein les yeux, rien n’avais d’importance. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Soudain, la réalité me frappa comme un bloc de marbre en pleine nuque. J’étais tellement focalisé sur mes émotions, sur ce que je vivais…je n’ai pas prêté attention à celle de Neil.
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Nous étions entrain de jouer à un jeu…et j’ai lâché les rennes, je me suis abandonné comme une ridicule petite fille. S’il s’avère que j’ai été trop crédule…je ne pourrais tout simplement pas revenir en arrière.
Quand je serais au siège, je ne dirais rien et je verrais bien comment Neil agit.
« Te voilà, tu en as mis du temps.
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- J’ai pris mon temps, après tout c’est moi la PDG.
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- Tu es toute pâle, c’est pas à cause de cette nuit rassure moi ? SVENKA, c’était un petit jeu…
La terre venait de faire 60 tours en une fraction de seconde. Mes jambes étaient entrain de me lâcher…quand à mon cœur, à l’instant où je vous parle…mon cœur avait littéralement fait voler en éclat mes côtes.
- Mais je dois avouer…que tu es absolument troublante quand tu embrasses.
Je voyais les lèvres de Neil bouger, sans pouvoir en entendre un seul mot, mon cerveau faisait un break.
Quand je revint à moi, je compris...
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- On est des adultes et on peut partager notre salive sans contrat de mariage tu sais.
Tais-toi, tais-toi, tais-toi, TAIS-TOI !!!!
- Sieg tu m’écoutes ?
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Reste digne, reste digne… - Dégage de mon étage au lieu de débiter tes conneries, heureusement que tu comptes pas me coller. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- La louve est toujours aussi sauvage…. »
En regardant par la fenêtre, je me rendais compte que cette nuit…la terre avait continuait de tourner.
Neil m’avait simplement immergé pour que je ne vois que lui…pour me faire oublier que le monde existait.
Alors pourquoi…pourquoi je continus de le vouloir, pourquoi j’ai encore envie de sa bouche, pourquoi j’ai envie de son corps. Il n’avait pas seulement gagné la partie, il avait pris le contrôle sur moi. Parce qu'à la première dose d’héroïne, la dépendance est totale.
Dernière édition par Logicielle le Lun 26 Nov - 0:58, édité 1 fois | |
| | | Yūren
Messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 31 Localisation : Là où tu n'es pas
| Sujet: Re: Possession Lun 26 Nov - 0:13 | |
| Quelle addiction ce Neil..... L'amour passion. Le jeu du chat et de la souris. Fuis moi je te suis.... Qui entre Sacha et Neil va recoller les morceaux du coeur de notre héroine ? Aucun des deux?.... C'est le jeu de manipulation qui la rend si addicte... Mais voit-elle vraiment ce que Neil peut lui apporter dans sa vie quotidienne ? A mon avis Sacha n'a pas dit son dernier mot ! Ou pire... Neil qui la manipule pour une affaire bien importante dans la boîte et a écarté Sacha du jeu. Tant de cas possible, de manipulation ça donne plein, plein, plein, trop d'idée de complot derrière cette histoire naissante ah ah. Je veux la suite mein papillonne ! En tout cas dans ce restaurant magnifique, tu n'as pas intérêt à rester sur ta faim. | |
| | | Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Episode 3 - Déstabilisation Lun 10 Déc - 23:07 | |
| Episode 3 Déstabilisation. « ESPÈCE D'ENCULE !!- Tu crois que ça va durer encore longtemps ? - Ça fait environ une heure… - SALE PETIT CONNARD ! - C’est r’partis…- Comment ce trou du cul peu balancer ça publiquement ! - Sieg…pense à ton cœur. - ET CETTE POUFIASSE QUI JOUE LES POLITICIENNES ! JE VAIS LA BROYER !!!!!!!!!- C’est bon ? - J’y crois pas…- Je vais trouver une solution. - Il n’y en a pas, l’info a fuité il va falloir réparer les pots cassés d’une autre manière. - Je vais joindre mon contact, non seulement on va retrouver la marchandise mais je peux t’assurer que je ferais payer chère la note à celui qui a fait fuiter ça. - C’est pas que ça Neil…l’ambassadeur Brésilien va l’apprendre et va faire une croix sur notre collaboration…depuis le temp ma marchandise s’écoule déjà aux quatre coins du monde !- J’te dis que je vais trouver une solution. - Laisse tomber Neil… - Benito ALVAREZ me mange déjà dans la main.- Beaucoup de gens visiblement te mange dans la main Neil.- Je suis sensé comprendre quoi ? - Que tu peux disposer. - Ohla les siamois, on se calme. - Je vais mettre une campagne publicitaire en place, l’avalanche sera tellement violente que sa vous laissera le temps de convaincre le petit Benito. » L’entendre parler comme s’il avait le contrôle sur tout me mettait hors de moi. Tout simplement parce que je faisais partie des « choses » sur lesquels il exerçait une emprise. Je luttais, je luttais pour ne pas tomber de nouveau dans son piège. J’étais furieuse et pourtant, s’il y avait un seul endroit où je voulais être…c’était sur cette falaise, mon corps ancré sur le sien. Mais pour l’heure, je devais trouver comment regagner le cœur de mon investisseur brésilien. Quand je vous ai dis que je tenais le monde au creux de ma main…ou du moins une partie, je n’ai pas exagéré.Je vends des armes. Beaucoup d’armes aux peuples soumis et oppressés ainsi qu’aux organisations clandestines qui rejoignent leur cause et je me sers de cet argent pour rendre à mère nature son éclat et restaurer les écosystèmes via plusieurs dispositifs. Mais je ne suis pas assez altruiste pour ne rien y gagner. Les pays qui veulent voir leur écosystème, leur végétation, leur animaux restaurés doivent investir chez SVENKA INDUSTRIES et c’est cet argent qui permet d’alimenter les usines d’armes ainsi que tous les salaires des employés. En gros. En pleine réflexion, l’image de Neil me hantait…j’avais l’impression que ça tournait à l’obsession.Comme en manque, mon corps se raidissait…ma poitrine se serrait. L’impression de suffoquer devint soudainement de plus en plus intense. J’avais besoin d’air. De l’air…enfin de l’air. Le temps aujourd’hui était celui que je préférais. Frais et ensoleillé. Je regardais le ciel, déçu par ce spectacle. J’avais l’impression qu’à ce jour…tout devait avoir la vue de la falaise pour être parfait. Ma frustration grandissait au fur et à mesure que mon manque me consumait. « Ça va ? - Oui.- Détends-toi. - Je le suis, même si dans les circonstances actuelles c’est compliqué pour moi. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- Je t’ai dit que j’allais m’en occuper personnellement. - Tu étais sensé déjà faire ça il y a quelques jours…voilà comment tu contrôle la situation ? - Il y a quelques jours j’ai eu une baisse de régime…et d’inattention, tu connais bien ça non je crois ? - Je sors faire un tour. » Tu peux bien te moquer de moi Neil HARO. Tu peux bien me retirer la seringue des mains au moment où je m’apprête à m’administrer mon shoot. Malheureusement pour moi…tu peux faire ce que tu veux et même si je te résiste, mon corps te réclame, mon corps te pardonne. Je suppliais mon cœur de ralentir, mon cerveau d’oublier. J’avais besoin de m’occuper l’esprit, de penser à autre chose…pourquoi pas, changer de planète. « Olaf ? C’est Sieg. - Si tu veux savoir où en est le projet « Amnésie » j’y travail ma caille. - Tu trouve toujours de ces noms…- C’est mon pêché mignon, faut toujours un nom badass. Tu m’appelais pour autre chose ? - Oui…Ça te dirais d’aller au Yovf demain soir ? - La petite boite du coin ? - Ouais...j’ai envie d’une petite soirée simple.- Ça roule pour moi princesse on s’retrouvera sur place. » Des personnes lambda…de l’alcool, voilà de quoi j’avais besoin pour te mettre hors d’état de contrôle Neil. Une fois à la maison, je modifiais le dossier « Brésil » en conséquence des événements de cet après-midi. Mon esprit toujours à demi présent, je tentais de laisser Neil loin derrière…mais chaque fois que j’essayais, je suffoquais. « Tu laisses souvent la porte ouverte ? - NEIL ?! - Ça te prends souvent de rentrer chez les gens comme ça ? - Je te l’ai dit, la porte était ouverte.- La sonnette tu connais ?! - Je dois te parler. »« C’est la seule condition pour qu’il accepte éventuellement un accord. - C’est pas le souci, je peux me déplacer à Rio sans problème…de toute façon pour un investissement aussi important c’est ce qui était initialement prévu. Mais c’est le « Éventuellement » qui me gêne. - Sauf qu’ALVAREZ n’a pas d’autre choix. Les réserves naturelles de son pays sont entrain de canner et le fric des paysans réside essentiellement sur l’exportation de produits alimentaires locaux, autrement dit fruits, légumes etc…- Tu veux dire que les paysans brésiliens seraient prêts à se révolter ? - Faute de moyens, les usines d’ALVAREZ produisent une quantité de déchets toxiques impressionnante et ce crétin au lieu de les créer au même endroit puis de les isoler…les a implantés un peu partout dans Rio.Donc oui, si les paysans ne produisent plus de marchandises qualitatives et ne vendent plus…je pense que le petit Benito va passer un sale quart d’heure. - Et donc il a besoin d’un jupon bien chaud où se planquer. - En l’occurrence le tient, et ce n’est pas éventuellement, mais vital pour lui. - Ça se tient. Tes sources ?- Le bras droit de Benito. - Sérieusement ? - Si tu doutes de mes talents je peux prendre la porte ? - Arrête tes conneries, s’il se permets d’être exigent avec nous c’est qu’il tient une partie du couteau. - Beaucoup d’argent et des relations dangereuses comme le Cartel Mexicain.- Tu veux dire que ce type pourrait m’assassiner ? - Pas si tu détiens des informations qui pourrait compromettre sa petite protection. - Balance. - Mieux, je t’ai laissé une clef USB avec tout ce qui pourrait faire en sorte d’attirer les foudres du Cartel sur ALVAREZ. Mais attention, n’oublis pas que ce sont des infos boomerang, tu peux couler ALVAREZ…et toi aussi par la même occasion en tant que « témoin ». - Bien joué Neil, je vais jeter un œil. - Parfait, je vais y aller alors.- C’est ça oui… » « Merci beaucoup Neil, je suppose que je te dois quelque chose ? - Tu me payes pour ça, c’est bien suffisant… pour qui tu me prends. - Enfin ça dépends de ce que tu me propose…- Rentre chez toi. - Si tu change d’avis tu sais où m’trouver. - PLUTÔT MOURIR NEIL ! » J’ai envie de le frapper pour la soirée du Bellagio…pourtant il arrive encore à me faire sourire. Je me demande bien jusqu’où s’étant son pouvoir pour soudoyer le bras droit d’un dirigeant millionnaire. C’est limite effrayant…ce gars n’a aucune faiblesse. Sort de ma tête, sort de ma tête…Neil HARO, je suis fatiguée de te voir même quand tu n’es pas là, fatiguée de m’imaginer que tu me prendras à nouveau dans tes bras, fatiguée… de rêver que tu ne sois pas si inaccessible.Si seulement je pouvais toucher ton cœur comme tu as touché le miens…mais parfois je doute que tu en ai un. Pour la première fois depuis 6 ans, je m’endormais dans mon lit…bercé par les illusions de Neil HARO, ombre sans cœur. Au petit matin, je consultais le contenu de la clef USB que Neil m’avait apporté la veille. ALVAREZ c’était amusé à mettre son nez dans le commerce du Cartel Mexicain en achetant toutes leurs marchandises en accords avec les services spéciaux brésilien…ce mec jouait les indics. Un bon point pour sa réputation officielle, un point noir mortel pour sa réputation officieuse. Je le tenait entre mes griffes. « Je suppose que si je suis là à cet heure c’est que tu as déballé mon petit cadeau ?- Absolument. - Je sens que tu vas me régaler SVENKA. 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- Tais-toi et suis-moi. - Désolé je suis un homme, je n’peux pas faire deux choses en même temps.- Alors suis-moi.- Bien. Notre petit Benito risque gros si je balance le contenu de cette clef. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Je t’ai dit de manier ça avec précaution.- Et je compte bien le faire, je n’aurais pas à dévoiler ses petits secrets parce qu’il me mangera dans la main bien avant. - Comment tu comptes t’y prendre ? - Lui remettre une copie. Seulement et seulement s’il se permet encore une fois d’avoir des exigences avec moi. - Tu sors les griffes ?- Plus ou moins, je veux qu’il sache que c’est moi qui ai le monopole et qu’il apprenne à rester à sa place. Non seulement il a besoin de ma protection, mais en plus de nos compétences. Je ne lui accorderai que s’il devient obéissant. - Toi…- Hmm ?- En plus d’être brillante, tu es sans pitié. - Euh… - Il n’y a aucun mal à être impitoyable tu sais. - J’adore ça. »- Ce, ce sont les autres… » Ce que mon corps voulait, je ne pouvait lui offrir. Le sentir à nouveau contre moi était inespéré…avait-il vraiment joué avec moi ou voulait-il lui aussi me sentir encore une fois. J’aurais tellement voulu te croire. J’aurais à cet instant, tellement voulu que tout ceci ne soit pas qu’un stupide petit jeu. J’aurais simplement voulu te toucher comme tu me touche en ce moment. Mais tu es une ombre et les ombres n’ont pas de cœur. « Pas cette fois Neil. » « Neil tu sors ! Non. Non ne me touche pas. « Arrête ! De quel droit tu te permets de faire ça ?!- Mon jeu.- Mes règles. - Ça t’amuse hein…- J’regrette tellement tout tu sais. - Tu vas abîmer tes beaux cheveux à force de les emmêler. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- Si seulement tu pouvais disparaître. - Hypocrite. Tu aimes ça…et sincèrement je pense pas que tu puisses tenir un jour sans moi. » Il avait tords, en vérité je n’arrivais même pas à tenir plus d’une minute sans penser à lui et la chaleur que dégageait son corps brûlant sur moi. J’étais réellement hypocrite. Je me suis laissé embrasser…et je l’ai repoussé comme s’il m’avait forcé. La raison pour laquelle je suis de mauvaise foi… c’est parce qu’au fond, Sacha a littéralement explosé mon cœur en mille morceaux…parce que j’en ai assez que mes sentiments ne soient pas réciproques, parce que je ne veux plus montrer mes faiblesses. Comme toujours, j’étais la dernière à partir…mais ce soir j’étais contente de pouvoir sortir avec Olaf.J’allais probablement me soûler et avant le débriefing avec les pakistanaises ce n’était pas raisonnable, mais pour faire court…j’en avais rien à foutre. La lune brillait à nouveau…mais les étoiles quand à elles avaient disparues. « Prêt à faire la fête mon chou ?- Tu me demande de faire la fête la veille d’une réunion hyper importante, t’es sûr que ça va ?- Im-ppe-cable» Je vais juste me soûler. Me soûler à mort pour oublier ce manipulateur Olaf…et demain, demain est un autre jour. « TOURNÉE GÉNÉRALE ET CONTINUE JUSQU’A ÉPUISEMENT HÉPATIQUE ! - Ah ouais…- Je vous mets une bouteille Madame ? - On prendra le bar. » « Allez germaineuh…On va s’la donner ! » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Loin...j’étais loin de tout. Ce que je devais faire pour faire sortir ce type de mon esprit était pitoyable. J’étais pitoyable. « Lèveuh toi où alors j’a j’appelle les pompiers hein ! - Attaaa ! - Mais quoi euuuh !- La porte elle, elle va voir ma culotte ! - Ah, POLICE viteuuuh fize toi Ofal ! Ofla ! euuuh OLAF ! - Sérieusement ?- Oh Neileuuh mon copaiiin ! - J’suis pas ton pote. - Ah bah, ah bah j’ai dû me tromper alors !! - Minable…- Sieg ?- D’abords elle est pas minable elle fait la statue d’abords !- Tu t’prends pour son boy mais tu la laisse boire comme un trou…- Soit pas fâché mon Neilou !- Demain c’est toi qui va assumer avec les pakistanaises, rentre-toi ça dans l’crâne…alors j’te conseille d’te barrer et d’aller décuver chez toi…je m’occupe d’elle.- Mais j’suis son ami hein !!! - Quel genre d’ami t’es pour la laisser se mettre dans un état pareil ?- Le meilleur qu’elle ai jamais eu HEIN MA SIEGOU SIEGOU ! - Ma tête… - T’as plutôt intérêt d’avoir ton cul à 6 heures pétante au siège.- C’est bon et même que t’étais pas obligé d’me frapper hein , Bidou bidou Siegou !. » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] « Aller viens par-là toi. - Oh le joli coussin tout doux ! - Si tu l’dis SVENKA…- Oh tout doux, tout doux, tout doux ! - Hey ! Arrête de gigoter comme ça ! On dirait pas mais tu fais ton poids ! - Neil…Neil…..Neizlzlzzzz….- Ouais c’est ça fait dodo « Siegou ». - Neil…Neil…. - Dans quel état pathétique tu t’es mis…- C’est…ta…faute. - C’est bien c’que j’disais…t’arrive pas à tenir une journée sans moi…regarde toi…- Je te déteste…Neil…je te déteste fort fort fort…Neil… »« Reste avec moi.- Arrête…t’es saoule. - Tu sens…tu sens mon cœur comme il bat fort...- Arrête…- Tu sens… Neil…- Sieg putain…arrête…- Moi je sens le tiens...qui bat fort.- Touche pas…- Pose tes mains sur moi Neil…s’il te plait…- Fais pas ça… - Je suis pas un type bien tu sais…- Ça m’est égal.- Tu seras toujours blessée.- Ça m’est égal. - Tu me déteste. - Je n’y arrive pas…- Tu dois me détester…je suis sans pitié. - Alors joue avec moi…- J’ai pas envie…- Menteur… Un rêve, une réalité. Sur le moment je n’ai pas fais la différence. Les illusions semblaient avoir disparu et il ne restait que Neil.Désinhibée, je laissais parler mes souhaits…mon cœur, mon corps et je savait intérieurement que les paroles que j’avais prononcé ce soir là étaient réellement sans retour. Je l’avais délibérément autorisé à jouer avec moi en échange de ma dose, ma dose d’héroïne. Je me suis endormie dans ses bras ce soir-là, insouciante. Sans me rendre compte de ce que j’avais provoqué. Sur l’instant, je voulais juste être avec lui. « Je vais revenir. » Dis moi Neil… Qu’avais-je provoqué en toi ?
Dernière édition par Logicielle le Mer 12 Déc - 20:12, édité 1 fois | |
| | | Yūren
Messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 31 Localisation : Là où tu n'es pas
| Sujet: Re: Possession Lun 10 Déc - 23:42 | |
| Ce Neil rend fou. Parfois les manipulateurs veulent protéger une seule chose derrière cette façade... Trop bien la musique dans l'épisode ! Cette série rend addictive, je veux savoir la suite | |
| | | Logicielle Admin
Messages : 25 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 30 Localisation : Là où je me réveil :3
| Sujet: Episode 4 - Morsure à la carotide Ven 11 Jan - 20:29 | |
| Episode 4 – Morsure à la carotide A mon réveil, je réalisais petit à petit que l’autre nuit n’était pas qu’un rêve. Cette nuit là était faites de nos chairs et de nos os, bien réelle.Je savais que cette fois, mes paroles était réellement sans retour. J’avais sans nul doute actionné les mécanismes de cette machine dangereuse et inarrêtable. Je restais assise, presque méditative à observer les flammes danser dans la cheminée. Je pouvais encore sentir le cœur de Neil transpercer sa poitrine et voir son regard de chien battu me suppliant d’arrêter.Pourquoi ce regard de chien battu Neil ? Pourquoi tu n’as pas agit comme à ton habitude, en fanfaronnant et en tentant de jouer avec mon esprit. Sur l’instant, moi qui était en piteuse état…je pensais t’avoir déroulé le tapis rouge de mes faiblesses en te confiant précieusement et maladroitement mes sentiments.Pourtant, cette nuit j’ai eu l’impression d’avoir effrité les tours de ta forteresse de glace. Puis, arrivant enfin à sortir de mes pensées, j’eu le souvenir de tes mots dans mon sommeil. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]« Je vais revenir. » Ne sachant pas quand tu m’avait glissé ces quelques mots à l’oreille, je décidais de ne pas m’alarmer et d’attendre patiemment ton retour. Encore vaseuse de la veille, pour me remettre d’aplomb j’alla prendre une douche et mettre des vêtements frais.Je pensais que Neil arriverait pendant ce temps et comme il le dit si bien…La porte de la maison est souvent ouverte. « Bon sang…j’ai une migraine épouvantable. » Ne le voyant toujours pas arriver, je pris mon téléphone pour l’appeler…l’attente était trop longue et le manque…de plus en plus étouffant. Je voulais savoir si de nouveau… il allait me cracher mes sentiments au visage.Je découvris un SMS de sa part, probablement à l’heure même où il a quitté la maison :« Olaf a géré avec les pakistanaises. Repose toi…et par pitié ne bois que de l’eau. » Cinq mots, voilà seulement cinq mots qui allaient très vite faire de ma vie un véritable calvaire : « Neil HARO, c’est à vous. » Je tentais de rester calme…après tout c’est de Neil HARO qu’il s’agit. Mais chaque fois que je tentais à nouveau ma chance : « Neil HARO, c’est à vous. » Cinq mots…cinq mots qui me crève le cœur, cinq mots qui m’écorche vive. J’espérais au fond de moi qu’il décrocherais ou même mieux, que Neil viendrait à la maison. Mais plus le temps passait, plus je réalisais qu’il ne viendrait pas ce soir. Devant mes portes glaciales, je scrutais l’horizon. Et dans le ciel, les étoiles avaient de nouveau disparues, tout comme Neil HARO…ma poitrine se serrait. Quant à mon cœur…à mesure que Neil s’éloignait, il battait de plus en plus lentement. L’état dans lequel tu étais quand je posais mes mains sur toi, quand je t’enroulais dans mes sentiments…n’était pas le comportement habituel de Neil HARO.Je le savais, mais j’ai fais semblant…semblant de ne pas voir que toi aussi tu pouvais momentanément perdre le contrôle. Dis-moi Neil…me ferais-tu payer cet affront ? Quand Neil n’est pas dans les parages…le silence se transforme en agresseur. Je m’imagine de plusieurs façon son retour…ou bien ce qu’il se passera s’il ne revient pas. Mais rien que d’y penser, ma gorge se serre…et je suffoque.Oui, ce silence m’agresse…même le son de sa voix est devenu une véritable drogue pour moi.Neil…tu m’as dit que tu allais revenir, je n’ai pas bougé d’ici…mais tu n’es pas là.Qu’est-ce que tu peux bien faire de si important qui nécessite de couper ton téléphone ? Si tu cherches à me fuir…je ne sais pas si je le supporterais. Pourtant, tu as dis que tu me blesserais et je t’ai tout simplement répondu que cela m’étais bien égal.Peut-être…parce que tout au fond de moi j’espérais que ces paroles ne soient que des mensonges. « Espèce de menteur !! » La nuit était tombée et le ciel quant à lui avait baissé son lourd rideau de nuages pour faire apparaître les étoiles. A nouveau…je prenais mon téléphone et je suppliais le ciel de me laisser entendre ta voix. « Niel HARO, c’est à vous. » Cinq mots… Mon corps commençait à se plaindre du manque et je débutais une guerre contre lui pour qu’il me laisse encore…encore un peu d’oxygène. Il ne reviendra plus. J’en avait ce soir la certitude. Si j’avais su… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Si j’avais pu ressentir ta présence. Je t’aurais probablement englouti sous mes draps de satin pour t’y sceller jusqu’à la fin des temps. Mais pour moi… Tu n’étais pas là. Le lendemain, pour la première fois de ma vie en arrivant au siège, ma priorité n’était pas de savoir où en était la logistique, les chiffres ou les prochaines livraisons…mais uniquement de savoir où était Neil. « Bonjour Iris, dis voir… tu as vu Neil dans les parages ? - Bonjour Siegrid, Neil est venu hier au siège pour poser un congé d’une semaine et à renouveler si besoin. » Cette terrible nouvelle balaya d’une traite mes dernières réserves d’oxygène…je commençais de nouveau à suffoquer. - Siegrid est-ce que tout va bien ? Vous avez l’air un peu pâle… Mon estomac se recroquevillait, ma trachée devenait sèche… - Tout va très bien Iris, merci beaucoup. » Aussitôt qu’Iris avait le dos tourné, je pris mes jambes à mon cou pour m’enfermer à double tour dans mon bureau. De l’air…j’avais besoin d’air… Suis-je en train de mourir à petit feu ? Mon cœur s’emballe et cette putain d’impression de respirer du Co2 me flingue littéralement les poumons…je n’arrive plus à trouver l’air. Mon corps en souffrance, je m’écroulais à terre…plutôt mourir que de survivre comme ça. Neil…Neil…mais où es-tu ? Ton absence est un crève-cœur… Ton indifférence…une sentence que je ne mérite pas. Le jour suivant, Neil n’était toujours pas réapparu. Je m’installais à la fenêtre, guettant son retour.Mon impatience me brûlait de l’intérieur, quant à mon espoir…il s’amenuisait de jour en jour. Et le jour d’après…toujours rien. Et le jour d’après… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Et le jour d’après… Mes espoirs étaient réduits à néant. Je n’espérais plus le revoir…je redoutais sa démission. Une dernière, une toute dernière fois… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]« Neil HARO, c’est à vous. » S’en était trop. Serais-je obligé de vivre uniquement avec ton souvenir Neil ? Serais-je obligé de regretter chaque jour de ma vie…de t’avoir dévoilé mes sentiments ? Non…pas ça. « Sieg ? - -- Sieg ?! Non…je ne veux pas que tu me voies comme ça… - - Ton nouveau mec te fais déjà pleurer ? C’est du joli… - - Absolument pas, il est en déplacement et il me manque c’est tout. - - Sieg…tu es au courant que je suis ton ami d’enfance en plus d’avoir partagé ta vie un certain nombre d’années ?- - Ecoute Sieg, tu as voulu me quitter c’est ton choix, je le respecte…même si encore une fois je n’ai rien à me reprocher. Mais tu es avec ce mec depuis quoi 2 semaines ? De nouveau ma trachée se resserrait…à la fois je sentais l’angoisse me submerger et de l’autre côté, la honte de ne pas savoir quoi répondre à Sacha. L’air…j’en suis entouré, pourtant il me semble à nouveau que mon cœur rebondit à la vitesse de la lumière en m’indiquant qu’il n’a plus d’oxygène pour tourner. Il raisonnait et tambourinait dans mes oreilles, empêchant efficacement de dévoiler les sons de Sacha. - - Bref, tout ça pour te dire que c’est plus mon problème, mais si tu as besoin de parler…je suis là. Je devais me reprendre, Sacha ne méritait pas de me voir dans cet état…mais ce manque est terrifiant et grandis à tel point qu’il fini par prendre toute la place dans mon corps. Sans toi Neil…je suis à l’étroit. - - Te parler de quoi Sacha ? Tu étais mon amour…et tu étais mon ami, je t’ai dit que je ne voulais plus rien savoir de toi, à ce jour…tu n’es plus rien pour moi.- - Tu sais très bien qu’c’est faux. - - Et puis j’ai une forme olympique ces derniers temps !- - Sieg…tes élans de joie trompent beaucoup de monde…mais pas moi. - - C’est toi qui m’a trompé Sacha…tu peux bien m’accorder ton ignorance ?- - Je… - - Je dois y aller !- - Siegrid ! » Cours Siegrid…ne t’arrête surtout pas…en vérité ne t’arrête jamais. Si seulement j’avais pu ne jamais m’arrêter pour partir loin, le plus loin possible de toi Sacha…et de ta minable compassion. Arrivé à la maison, je m’effondrais de nouveau. Si effectivement à un moment j’ai pu penser que j’étais pitoyable…tu l’étais d’avantage Neil. Qu’est que j’ai fais pour mériter ça, je n’ai fais que t’exprimer mes sentiments… je n’ai fait qu’essayer de toucher ton cœur. Je voudrais… Je voudrais simplement que tu sois là… Cette nuit-là, je tentais encore une dernière fois de t’appeler. Sans foi…sans espoir, je priais les étoiles de me faire entendre ta voix. Pour la première fois depuis cinq jours…son téléphone sonnait. Mon cœur battait la chamade comme si j’allais entendre sa voix pour la première fois. « Neil HARO, c’est à vous. » Tu sais Neil, c’était la dernière fois que je m’autorisais à entendre ces cinq mots. Chaque désillusion était comme une avalanche en moi…froide, violente et bien que totalement prévisible…si soudaine. Je décidais de faire le vide dans mon esprit, d’aller me coucher comme si…comme si pour une fois tu n’avais pas existé. Mais…je pouvais toujours sentir ton souffle chaud et cadencé. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Tu n’es pas là Neil, pourtant partout où je suis, je peux sentir ta présence…sentir ton regard « miroir » sur moi. Puis, quand le sommeil profond tente de m’emmener…ta présence disparaît, comme si…mon ombre n’avait jamais existé elle aussi. « NEIL !! » Persuadé de ta présence, je me réveilla brutalement pour te retenir… Mais tu n’étais réellement pas là. Je ne pouvais plus. Je ne pouvais plus vivre sans toi... et je t’en voulais d’avoir jeté ton dévolue de manipulateur sur moi, je t’en voulais de m’avoir séduite, mentis, abandonné. Mais par-dessus tout…je m’en voulais de m’être accroché à toi si vite, trop vite. « Bonsoir. Un…mirage ? - - Neil…- ( Désolé, j’ai dû m’absenter. Tu t’adressais à moi comme si tu n’étais jamais parti d’ici. Je t’en voulais tellement Neil. - - Je…je sais. - - Tu pleurs ? - - CINQ JOURS ! CINQ JOURS !! QU’EST-CE QUE J’TAI FAIT !! - - JE TE…POURQUOI ?!! - - Calme-toi.- - JE…JE TE DETESTE NEIL ! JE TE DETESTE, JE TE DETESTE ! - - Je suis là, tout va bien. » Mes sanglots étaient si puissants, mélange de peine, de rage et de joie…je n’arrivais plus à articuler ne serait-ce que pour te témoigner ma colère. Tu étais là, c’était tout ce qui comptait. - - Je…je…ne fais plus jamais ça.- - Je ne pars plus. » Je le regardait apeuré…devrais-je vraiment franchir cette limite ? Si je devais après tout cela manquer à nouveau de lui, tuez-moi sur le champ parce qu’il me serait impossible de le supporter. Tu m’emmenais lentement et fermement jusqu’à ma chambre, toujours avec cette assurance qui me terrifiait…et à la fois imbibait mon corps tout entier. Allais-je à la suite de tout cela devenir ta marionnette ? J’avoue y avoir pensé à un moment…mais quand je pu goûter à nouveau tes lèvres et à ta salive délicieusement sucrée, cela m’importait peu, Neil HARO…je te voulais tout simplement. Nous laissions tomber nos vêtements au pied du lit et je laissais le soin à Neil d’explorer mon jardin secret…à sa guise. Dépossédée, j’avais choisis de m’abandonner entièrement à lui.Le passage de ces doigts dans la cambrure de mon dos, faisait trembler les membres de mon corps comme une feuille morte. Tandis que d’une main douce Neil découvrais ce corps que j’avais à lui offrir, de l’autre il attrapait fermement mes cheveux pour me donner un peu de lui…cette saveur sucré…Aucune question, aucune culpabilité. J’avais enfin le droit de le goûter intégralement…oui, j’avais le droit. A mon tour, je m’aventurais à découvrir le sien…en pressant ma poitrine contre lui je pu sentir son cœur battre à l’unisson avec le mien. A cet instant, en moi…ce fût l’explosion. Car ce que Neil ne savait pas, c’est qu’une louve qui dors profondément ne doit surtout pas être réveillée. Affamée et brûlante, je me jetais sur lui…Neil HARO, tu m’avais fait trop attendre, cette fois je ne voulais pas me délecter…mais bien te dévorer. Sur mon ventre je pouvais sentir la dureté et l’intensité de son plaisir. Mais…je voulais toujours plus, encore et TOUJOURS PLUS. Puis, subitement il se retourna… Le jeu… De la louve… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Et du renard venait de débuter. Nos pulsions ne faisaient qu’une…deux animaux épris l’un de l’autre se livrait bataille. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Une bataille… Une bataille douce et féroce… Pour la possession de l’autre. Neil…J’aurais tout donné, jusqu’à mon âme au diable pour que cet instant dure éternellement. Mais peut-être venais-je déjà de le faire. Alors...ton royaume est si bon, si beau, si doux. Et moi je ne suis qu’une pécheresse parmi celui-ci… Sache que même si ce royaume t’appartient, tu n’en reste pas moins un pêcheur toi aussi. Tu déchire sans vergogne ton âme pour la mêler à la mienne…à la façon d’un marionnettiste. Mais si l’enfer est ici… S’il le faut…je sombrerais avec lui…avec toi, tout entière. Mon héroïne. Mon unique dose d’héroïne. « Déjà réveillée ? Tu es plutôt résistante dis-moi. Le silence était grave et seules les flammes moqueuses crépitant dans la cheminée se faisait entendre. « Je pensais que tu étais parti. - - Je vois. - - Je ne veux pas te retenir. Seulement… - - Seulement quoi ? - - Quand j’ai mis ma main sur ton cœur la nuit où tu es venu me chercher…tu as disparu. Pourquoi ? - - Pauvre idiote. - - Neil…- - Ferme-là et écoute. - - Mais !- - Je t’ai dit que je te blesserais… - - Je t’ai répondu que ça m’étais bien égal.- - Mais plus jamais je ne t’abandonnerais… - - Tu es à moi. Cette nuit, ton honnêteté et ta spontanéité me désarmèrent. Je ne savais plus qui tu étais vraiment ni ce que tu voulais…mais tu fût trahi à nouveau par les battements de ton cœur. C’est ici que ta sincérité se trouvait, prisonnière de ton cœur de glace. Plus jamais je ne t’abandonnerais, tu es à moi. | |
| | | Yūren
Messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2018 Age : 31 Localisation : Là où tu n'es pas
| Sujet: Re: Possession Ven 11 Jan - 22:54 | |
| Le visage du manipulateur.... Heureusement que tu n'as jamais bridé cette histoire. Les sentiments, les doutes sont bien là. Ce n'est pas évident de savoir la suite. | |
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| Sujet: Re: Possession | |
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